Edouard Philippe : ce surnom trop mignon donné par sa fille quand son vitiligo est apparu

Publié le 25 septembre 2025 par: Être Heureux #etrehrx

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L’ancien Premier ministre Édouard Philippe a choisi de se livrer sans détour sur un sujet très personnel. Invité du podcast Legend le dimanche 21 septembre, il a raconté avec sincérité son combat contre le vitiligo puis l’alopécie, deux maladies dermatologiques qui ont profondément bouleversé son rapport à l’image et au regard des autres.

C’est à la fin de l’année 2019, en pleine réforme des retraites, qu’Édouard Philippe a commencé à remarquer les premières manifestations visibles de sa maladie. De petites plaques blanches sont apparues sur ses mains, ses pieds puis son visage. La dépigmentation a ensuite touché sa barbe, lui donnant une apparence singulière. Sa fille Sarah, avec tendresse et humour, l’avait alors surnommé « Kung Fu Panda », un clin d’œil qu’il dit avoir accueilli avec le sourire.

Le passage à l’alopécie en 2022

Trois ans plus tard, le vitiligo a cédé la place à l’alopécie. Cette fois, les conséquences ont été bien plus visibles. « Tout tombe », raconte l’ancien Premier ministre en évoquant la perte de ses sourcils, de sa barbe puis de ses cheveux. Ce bouleversement physique a marqué une étape difficile, car il a dû affronter un regard social parfois pesant, certains croyant à tort qu’il était gravement malade.

L’épreuve du regard des autres

Édouard Philippe reconnaît que ce n’est pas tant la maladie que le jugement extérieur qui l’a affecté. « Quand je me regardais dans la glace et que je voyais une tête qui n’était pas la mienne, ce n’était pas drôle du tout », confie-t-il. Dans le monde politique, où l’image compte autant que les mots, les rumeurs ont circulé, alimentant encore son malaise. Cette expérience lui a permis, dit-il, de mieux comprendre ce que vivent ceux qui, plus jeunes, sont confrontés à une perte de cheveux précoce.

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Une renaissance capillaire

Aujourd’hui, Édouard Philippe a retrouvé en partie sa chevelure. Une « formidable nouvelle » qu’il accueille avec optimisme, sans pour autant vouloir réduire son parcours politique à cette expérience intime. « Je ne fais pas de la politique pour raconter mes histoires de poils », insiste-t-il, rappelant que son engagement dépasse largement sa santé personnelle.

Un témoignage humain et politique

En choisissant de partager ce pan intime de sa vie, l’ancien Premier ministre met en lumière la difficulté de conjuguer responsabilités publiques et vulnérabilité personnelle. Son récit, à la fois pudique et franc, humanise la figure politique et rappelle que derrière le costume, il y a un homme confronté à ses fragilités.

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