Le ministère de la Santé a demandé aux hôpitaux français de se préparer à la guerre d’ici mars 2026

Publié le 28 août 2025 par: Être Heureux #etrehrx

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Selon des révélations du « Canard enchaîné », le ministère de la Santé aurait transmis en juillet une directive aux agences régionales de santé demandant aux hôpitaux français de se préparer à un scénario redouté : accueillir des milliers de soldats blessés en cas de conflit armé majeur en Europe d’ici mars 2026.

Daté du 18 juillet 2025, le document confidentiel évoque la nécessité pour la France de devenir un pôle stratégique de prise en charge sanitaire. Les hôpitaux seraient appelés à absorber un afflux massif de blessés, qu’ils soient français ou alliés. Pour y parvenir, le ministère envisage la création de centres médicaux situés à proximité des ports et aéroports afin de faciliter le réacheminement des militaires vers leur pays d’origine.

Une anticipation de 10 000 à 50 000 blessés

Le scénario étudié par les autorités est impressionnant : entre 10 000 et 50 000 soldats blessés pourraient être pris en charge en France, sur une période allant de dix jours à six mois. Dans ce cadre, le ministère invite les professionnels de santé civils à rejoindre le Service de santé des Armées. L’objectif affiché est clair : adapter dès maintenant les infrastructures hospitalières à un contexte de guerre de haute intensité.

Former les soignants à la réalité de la guerre

Le texte insiste également sur la nécessité de sensibiliser les personnels de santé aux conditions particulières d’un conflit armé. Ressources limitées, besoins exponentiels, risques d’attaques sur le sol national : autant de contraintes auxquelles les hôpitaux pourraient être confrontés. La lettre souligne aussi l’importance de préparer la prise en charge des blessures psychologiques, notamment les troubles post-traumatiques, ainsi que l’organisation des filières de rééducation et de médecine physique.

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Une confirmation implicite de Catherine Vautrin

Interrogée sur cette note par la presse, la ministre de la Santé, Catherine Vautrin, n’a pas démenti. Elle a rappelé que les hôpitaux français se préparaient en permanence à divers types de crises, qu’il s’agisse d’épidémies ou d’accidents de grande ampleur. « Il est tout à fait normal que le pays anticipe », a-t-elle déclaré, ajoutant que cette responsabilité relevait des administrations centrales. Pour justifier cette démarche, le ministère met en avant le climat géopolitique tendu en Europe, qui exige une planification sanitaire adaptée aux scénarios les plus sombres.

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