Le Prince Harry bientôt soumis à un test ADN ? Cette maladie génétique qui remet en cause les rumeurs sur la paternité de Charles
Publié le 11 novembre 2025 par: Être Heureux
Depuis des décennies, la question de la filiation du prince Harry revient régulièrement dans les médias britanniques.

Rumeurs, comparaisons physiques et spéculations se sont succédé, alimentant l’imaginaire collectif. Pourtant, de nombreux éléments concordants permettent aujourd’hui de clore sérieusement ce chapitre, loin des fantasmes et des récits sensationnalistes.
Dès 1984, année de naissance du prince, la couleur rousse de ses cheveux a suscité des commentaires et des insinuations. Certains tabloïds britanniques ont avancé le nom de James Hewitt, ancien proche de Lady Diana, comme père supposé de Harry.
Mais les faits sont clairs : Hewitt lui-même a répété à plusieurs reprises que sa relation avec Diana a débuté après la naissance du prince. Les spéculations reposaient donc davantage sur l’apparence que sur des éléments objectifs.
Un héritage venant du côté Spencer
Au sein même de la famille de Lady Diana, la chevelure rousse est bien présente. Son frère, Charles Spencer, arborait lui aussi des cheveux flamboyants dans sa jeunesse.
Ainsi, l’explication est biologique : le prince Harry a hérité d’un trait génétique maternel, régulièrement visible chez les Spencer, ce que les rumeurs médiatiques ont longtemps omis de rappeler.

Un détail génétique partagé dans la lignée paternelle
Au-delà de la ressemblance capillaire, des éléments médicaux rapprochent Harry du côté Windsor. Une particularité anatomique, la dactylite (une forme d’inflammation rendant les doigts légèrement arrondis), est observée chez Harry, chez Charles, chez William et chez le prince Philip.
Ce trait, transmis génétiquement, constitue un marqueur physique supplémentaire liant Harry à sa famille paternelle.
Une ressemblance marquante avec le prince Philip
Certaines images d’archives, notamment une couverture de Paris Match en 1957, montrent un prince Philip jeune dont les traits rappellent fortement ceux de Harry.
La ligne du visage, le regard et la posture renforcent l’idée d’une filiation naturelle au sein de la dynastie des Windsor.
Harry refuse le test ADN : un choix assumé
Dans ses mémoires Le Suppléant, Harry explique qu’il n’a jamais souhaité répondre aux exigences des tabloïds en se soumettant à un test ADN.
Pour lui, céder reviendrait à valider la légitimité du scandale, alors même que les éléments objectifs infirment les rumeurs.

Une relation paternelle toujours vivante
Lors d’un passage récent à Londres, Harry et le roi Charles III se sont retrouvés en tête-à-tête, un échange rare mais symbolique.
Selon Harry, son père “va très bien”, malgré ses problèmes de santé.
Ces retrouvailles témoignent d’un lien affectif qui perdure, même dans une relation familiale complexe.
Installé en Californie avec son épouse Meghan Markle, Harry mène sa vie entre projets personnels et actions caritatives.
Les Invictus Games, qu’il a fondés, montrent son attachement à la solidarité et aux anciens combattants, un engagement qui continue de l’amener ponctuellement au Royaume-Uni.







