Stupidité ultime : un homme saute sur une orque depuis son bateau pour le buzz
Publié le 22 mai 2024 par: Être Heureux
Imaginez la scène : un bateau navigue tranquillement au large d’Auckland, en Nouvelle-Zélande. Soudain, un homme saute par-dessus bord, plongeant droit vers une orque mâle qui nage paisiblement avec son petit. Un acte insensé et dangereux, capturé sur vidéo et partagé sur les réseaux sociaux dans le seul but de faire le buzz.
Une violation flagrante de la loi
Selon le ministère, il s’agit d’« une violation flagrante de la loi sur la protection des mammifères marins ». En effet, il est illégal de nager avec ces animaux, de les perturber ou de les harceler, une loi malheureusement trop souvent bafouée, notamment par les jet-skis qui s’approchent de trop près.
Une tentative désespérée de gagner des likes
NEW: 50-year-old man fined $600 for bodyslamming a Killer Whale off the coast of New Zealand.
The orca was swimming with a calf when the man decided to jump off the boat.
Publicité:« I touched it! » the man said.
According to the Department of Conservation, the man could have been… pic.twitter.com/8I4Pj9IRL7
— Collin Rugg (@CollinRugg) May 21, 2024
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Mais dans ce cas précis, l’acte de l’homme semble avoir été motivé par une seule chose : obtenir des likes et des vues sur les réseaux sociaux. « Il s’agissait d’une tentative délibérée d’obtenir des likes et des vues sur les réseaux sociaux », a déploré un enquêteur du ministère, cité par ABC News.
Le comportement des autres personnes présentes sur le bateau, qui ont ri et encouragé l’homme au lieu de l’en dissuader, a également été dénoncé par les autorités.
Un risque pour la survie des orques
Si l’orque ne semble pas avoir été blessée dans l’immédiat, un tel acte peut avoir des conséquences graves sur le comportement et la survie de ces animaux. En effet, le petit aurait pu être séparé du reste du groupe, ce qui représente un risque majeur pour sa survie.
En Nouvelle-Zélande, la population d’orques est estimée entre 150 et 200 individus seulement. Au niveau national, elles sont considérées en voie critique d’extinction, ce qui rend la protection de chaque individu cruciale.